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| موضوع: Mostaganemen en deuil : Le journaliste Benyahia Abdelkader n’est plus الأحد 16 سبتمبر 2012, 00:59 | |
| Mostaganemen en deuil : Le journaliste Benyahia Abdelkader n’est plus
un vrai nationaliste qui défends à tout instant les chouhadas et les Moudjahidines qui ont combattus pour l'independance du pays Triste jour que fut la journée d’hier. Le journaliste du journal « Réflexion » , Benyahia Abdelkader, s’est éteint hier à l’âge de 64 ans, laissant derrière lui un immense vide au sein de la corporation de la presse locale de Mostaganem ainsi qu’au journal Réflexion. Lui, qui était toujours souriant malgré sa maladie portait le bonheur et la joie à l’équipe en créant une atmosphère de bonne ambiance. Atteint d’une maladie qui l’a alitée durant tout le mois passé, loin de la rédaction de Réflexion, il a rejoint son Créateur, hier en fin d’après-midi à son domicile sis à Mazagran. La nouvelle est tombée comme une foudre sur l’ensemble du personnel du journal « Réflexion » Car le défunt, était pour l’ensemble des employés un père, un frère, un ami et un professeur. Il a sacrifié son temps et sa santé pour donner le meilleur de lui-même pour le développement de « Réflexion » qui le considérait comme son petit bébé et qu’il doit le protéger même de l’air qu’on respire. Dadi comme il aimait être appelé par ses amis et ses enfants ou C. Djamel comme il préférait signer ses articles, n’était pas de ceux qui s’intéressent à leur petites personnes, mais bien au contraire. Abdelkader était en fait de ces musulmans qui ont un cœur à porter les problèmes et les soucis d’autrui. Et cette qualité d’âme rarissime de nos jours, lui a bien valu le sobriquet de Dadi. Il est en effet de ces Mostaganémois qui ne passent pas inaperçus dans la rue. Cadre d’une entreprise, syndicaliste farouche, il était bien connu par tout le monde. Le salut et le sourire ne quittaient presque guerre ses lèvres. Il avait toujours un conseil, une anecdote, ou une belle phrase à offrir à son prochain. Il était aussi affairé par l’écriture d’un livre dédié à la mémoire des véritables chouhadas, néanmoins son projet ne verra pas le jour puisqu’inachevé à cause de ce trépas. Il avait aussi écrit un autre recueil sur la personne de Messali El-Hadj mais qui n’a pas été édité. Sa bonhommie et sa vivacité était aussi palpable au sein du journal Réflexion qu’il a rallié en fin de l’an 2008. « Il avait un amour fou pour le journal », souffle avec peine mon collègue Gana. Il venait à peine de lui rendre visite à l’hôpital vers les 13h avant que sa famille ne le ramène chez lui. Mais à vrai dire, Benyahia Abdelkader semblait bien savoir que son heure est venue : « Avez-vous pensé à l’article qu’il faut me consacrer à la Une ? » Telle fut le dernier vœu de notre chère collègue. Et ce n’est pas de la fanfaronnade que le défunt réclamait. A avoir brièvement mais bien croisé Dadi sur le parcours professionnel il y a 3 ans, l’auteur sait pertinemment que le modeste Abdelkader ne veut autre de par une page ou un billet consacré à sa personne, que la commisération sur son âme. Que Dieu ait ton âme, grand frère. A la technique, le jeune El-Hadj Ahmed n’arrivait pas à suivre le montage du journal. Le décès de « Dadi » pèse d’une grande tristesse. Le cas du directeur de la publication qui lança : « c’est une grande perte », avant de se cloitrer dans son bureau. Car le deuil est certes supportable au fil des jours. Mais de là à trouver une personne comme Abdelkader, qui aimait au-delà de ses forces ce petit canard entre vos mains, c’est presque de l’impossible. Tout en étant malade, feu Benyahia ne s’est jamais fait l’idée de quitter la rédaction. Coute que coute et vaille que vaille, il répondait journellement présent en dépit de sa souffrance. Le travail, le labeur et l’activité, c’est cela qui lui donnait sa vitalité dans son corps et dans son âme.
Le dernier article de presse du défunt écrit avant de nous quitter
Plus de 19 ans à la tête du ministère de l’éducation nationale : Boubekeur Benbouzid détient tous les records de longévité à ce poste
En France de 1993 à 2012, il y a eu 12 ministres de l’Éducation nationale, par contre en Algérie nous avons eu 10 ministres à ce poste, de 1993 à 2012 qui se sont succédés en la personne de Boubekeur Benbouzid dont la longévité de ministre de l’éducation nationale a surclassé tous les autres ministères à croire qu’il lui revient de droit jusqu’à la mort.
Par Benyahia Aek
Va-t-on mettre en cause la personnalité de son adversaire, au risque de se mettre soi-même en danger, par réaction dans le cas d’un changement du gouvernement, car telle est la question? Citer l’exemple du ministre de l’Éducation nationale Boubekeur Benbouzid, qui s’accroche à son poste et qui certainement ne décrochera pas serait une preuve supplémentaire qu’il y a plus d’une façon de survivre pour un être humain et plusieurs entendements au mot longévité dans un poste très sensible tel que celui de ministre de l’éducation nationale. . La longévité ministérielle n’existe que dans notre pays, alors que dans un pays comme la France elle est d’une moyenne de 2 ans et ce depuis l’établissement de la Ve République. Valéry Giscard d’Estaing en détient le record : secrétaire d’Etat de 1959 à 1962, ministre de 1962 à 1966, puis de 1969 à 1974) en tout et pour tous 12 ans, Léon Schwartzenberg ayant été le moins assidu (ministre de la santé dans le gouvernement Rocard, il démissionne au bout de 9 jours à la suite de sa prise de position sur l’euthanasie, Ceci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Chez nous pour battre le record de la longévité à un poste aussi important que le ministère de l’éducation, on ne trouvera pas mieux que M. Boubakeur Benbouzid qui l’occupe depuis plus de 19 ans, à croire qu’il est resté coller à son fauteuil. Ce poste serait-il considéré comme une chasse gardée peut être oui, car là est toute la question et au vu des résultats, il y a maldonne, d’où le taux élevé de médiocrité et des échecs enregistrés et ce durant les dernières années, L’on peut dire que nous avons atteint le fond, avec des bacheliers et des licenciés qui ne maitrisent aucune langue, qui sont perdus sans la calculatrice dépourvus de tout sens critique, créatif ou objectif, d’où le recalage et les difficultés à suivre, résultats des courses nous le payons à nos dépends. Le sujet est vaste certes, mais à mon sens, Boubekeur Benbouzid illustre très bien cet état d’esprit et semble décider à survivre à tous les ministres qui ont été soit affectés à d’autres ministères ou tout simplement remerciés. Cependant là n’est pas la question, et il n’est pas dans notre intention de débattre de l’excellence, mais de cette longévité à un poste très sensible dont l’évolution est en de ça et ce malgré que les parents se plaignent que leurs enfants jusqu’à la terminale « Terminus » au moins, pour cela ils utilisent souvent les services du net pour s’amuser, au lieu de naviguer dans les sites de culture et de savoir, pour faire du copie/coller. Ce n’est pas parce que nos enfants sont des tricheurs non, c’est parce que l’enseignement de l’Ecole fondamentale « Faouda Mentale » les a laminé et abrutis et le très expérimenté patron de l’Éducation nationale n’a pas du tout l’air de s’inquiéter de la valeur pédagogique .Pourquoi se ferait il du mouron puisque sa longévité exceptionnelle à la tête du même ministère lui prouve, à chaque remaniement de la composante du gouvernement, que tout le monde se satisfait du gâchis accompli. Pour preuve, les grèves qui se succèdent la nomination de directeurs d’établissements et autres cadres de l’Éducation nationale aux compétences fort discutables est devenu un fait accompli. Il ne suffit donc pas d’augmenter sporadiquement les salaires des préposés à l’éducation pour en améliorer le niveau. Pour certains qui encouragent la médiocrité, cela va forcément ternir l’image du Bac du fait que l’élève va à l’université avec un niveau bas». Le comble dans tout cela c’est lorsque l’on entend le premier responsable du Cnapest parler de pédagogues, alors là croyez moi c’est la goutte qui fait déborder le vase.
Dadi, Nous Vous Aimons Avec une grande tristesse que nous avons appris le décès notre collègue, ami et frère feu Benyahia Abdelkader qui nous a quittés hier à l’âge de 64 ans laissant un grand vide dans nos cœurs que personne ne pourrait le remplacer, vu sa bonté et sa bonne humeur de tous les jours que nous ne pouvant l’oublier. Dadi, ce nom qui a retenti dans les couloirs du journal Réflexion depuis sa création restera toujours gravé dans nos mémoires. Benyahia Abdelkader, le passionné d’histoire, particulièrement celle de notre grand pays, a toujours su comment nous faire aimer notre pays et de s’y rattacher. L’histoire de Mostaganem racontée par Benyahia Abdelkader était sans ambigüité. Les hommes qui se sont sacrifiés pour l’indépendance de notre pays ont été éternisés par les écrits du défunt qui aimait sa patrie autant qu’il aimait sa famille car l’Algérie était sa grande famille. Nous avons connu Benyahia Abdelkader comme journaliste, historien et homme de culture et avec cette perte, Mostaganem a perdu l’un de ses illustres penseurs qui dénonçait toujours la situation dans laquelle s’est retrouvée sa ville natale. Notre modèle à suivre était incontestablement, Benyahia Abdelkader, qui nous appris, à sa manière, le dévouement au travail puisque durant toute sa carrière il n’a jamais refusé une mission que l’on a chargé de la faire. Il ne savait pas dire « Non ». Il se considérait comme un soldat au service de son journal bien aimé « Réflexion ». Mostaganem se souviendra surement de feu Benyahia Abdelkader, l’homme qui, à travers ses articles, a fait trembler des personnes qui croyaient qu’ils étaient sur des trônes hérités de leurs pères. Mostaganem avait d’hommes à l’image de notre « Dadi » et se demande si on pourra un jour un aussi courageux que notre « Dadi » pour défendre les laissés pour compte ici à Mostaganem. Les pauvres gens de Mostaganem ont perdu un avocat, qui n’hésitait jamais à les défendre sans se soucier des retombées de ses articles car seule la bénédiction de Dieu comptait pour lui. Il n’a jamais fait ce qu’il a fait pour de l’argent ou pour une notoriété mais seulement pour l’amour de Dieu. Benyahia Abdelkader était un croyant pratiquant qui ne manquait jamais une prière. Il disait que personne ne sait quand il rencontrera son Créateur. Hier, son Créateur a mis fin à une vie pleine de bonheur et de malheur que ses fils et ses filles la raconteront à ses neveux. “A Dieu nous appartenonset à lui nous retournons” De la part de tout le personnel de Réflexion La Rédaction Mercredi 5 Septembre 2012
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Condoléance Je viens juste de lire la triste nouvelle je suis profondément émue j'avais beaucoup d'admiration pour Monsieur Benyahia j'ai appris de lui l'histoire . Un grand Monsieur qui s'en est allé... Une belle étoile brillera aux cotés de toutes les autres Ce professeur laisse derrière lui des travaux d’une grande qualité, c'est une grosse perte pour Mostaganem...... mes Sincères condoléances . الرموز تحمل قيمتها في موتهاYasmine27 | |
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